Heroeslegend - Rallye La Légende Des Héros De Paris à Dakar


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Reconnaissance Maroc


Retour des reconnaissances Maroc. La météo n'était pas au rendez vous alors beaucoup de pluie, de boue et de neige. Les 4 premières étapes ont tout de même été validées et feront l'objet d'un 2ème passage dès que la météo sera plus clémente :

Jour 1: Nador - Fez (pistes roulantes sur plateau),

Jour 2 :Fez-Marrakech (une superbe piste avec un passage de col à 3200m et un paysage a couper le souffle),

Jour 3 :Marrakech - Tan Tan (une première partie à 2900m et ensuite une piste sablonneuse jusqu'au bivouac)

Jour 4 - Tan Tan - Tan Tan, (une étape en boucle avec beaucoup de sable et les premières dunes. Un peu de repos pour les assistances, il y aura une autre boucle en Mauritanie).


Présentation du rallye à Montauban vendredi 4 mars, 19h30-Ancien Collège, Allée de l'Empereur
Entrée libre

Nouveau Clip Heroes Legend 2011

17) Présentation du rallye le 3 février au DAF Museum à Eindhoven (Pays bas)

Présentation du rallye au MCM Motorcycle Show a Londres du 3 au 6 février sur le stand Desert Rose Racing

Euro4x4parts.com partenaire de La Légende 2011. Tarifs spéciaux pour les participants au rallye



Rendez vous en Octobre 2011 pour une 6ème édition avec beaucoup de nouveautés (parcours, navigation et catégories).

16) LE LAC ROSE....
ENFIN
 !
La récompense de tous les efforts et l’aboutissement d’un rêve en arrivant sur la plage qui mène au Lac Rose. Un grand moment pour se faire plaisir et savourer la victoire, franchir la ligne d’arrivée avec la fierté de pouvoir dire, «j’en rêvais et j’y suis enfin »
Les concurrents de cette 5ème édition de La Légende des Héros n’en rêvent plus, ils font partie maintenant de la Légende du Paris-Dakar.
Après le tour du lac et les derniers kilomètres du rallye sur la plage, l’arrivée à été célébrée dans la joie et la bonne humeur suivi d’un déjeuner et de la remise des prix.

Les vainqueurs de cette 5ème édition du rallye Heroes Legend :
1ère moto Open, Chris Barwick, Uk
1ère moto Classique, Claudio Zago, Italie
1ère auto Open, Csanyi/Csanyi, Hongrie
1ère auto Classique 1, Gabrielle/Py Lebrun, France
1ère auto Classique 2, Martegoute/Dupont, France

Merci à tous les concurrents pour le beau spectacle que vous nous avez offert pendant ces 2 semaines de rallye et nous vous donnons rendez vous en octobre 2011 pour de nouvelles aventures !

 

15) Vendredi 29 Octobre
Etape 12 : St Louis – Koba : 360 Km
Cette année le parcours nous amène un peu plus loin dans les terres sénégalaises.
Des pistes en latérite, sablonneuses et rapides au milieu des baobabs laissent présager un grand moment de pilotage et de navigation. Des couleurs beaucoup plus africaines attendaient nos concurrents ! Ce changement radical de décors nous a conduits à Koba où la deuxième spéciale de l’étape faisait une boucle autour du petit campement peul qui accueillait notre bivouac.
Nomades qui se sédentarisent au fur et à mesure des saisons, en fonction de leur troupeau, les Peuls habitent dans des petites cases légères et démontables. Ce campement hors du commun à ravi les concurrents, et l’organisation !
Un accident à malheureusement entaché cette fin de journée : la moto n° 9 a percuté la voiture n° 231devant le bivouac : notre motard à été rapidement transférer à Dakar en hélicoptère où il a reçu les premiers soins. Il sera très prochainement rapatrié chez lui. Les nouvelles sont rassurantes.

14) Jeudi 28 octobre
Etape 11 : Akjoujt – St Louis : 580 Km
Dernière étape de Mauritanie avant de rejoindre le Sénégal, la journée n’a pas été de tout repos ! La spéciale qui attendait nos participants passait par la source de Benichaab. Les conditions météorologiques des jours passés ont laissé des traces sur la piste et quelques bourbiers que certains n’ont pas contourné…... Quelques petites erreurs de navigations ont donné lieu à des accidents de parcours mais heureusement il y a eu plus de peur que de mal notament pour le Bowler n° 201 qui à fait des tonneaux à 7 km du départ de la spéciale.
Nous nous sommes tous rejoint à Nouakchott pour traverser la ville, en convoi afin de pouvoir traverser rapidement la ville de Nouakchott bien connue pour ses embouteillages, avant le passer la digue de Diama où nous avons passé traversé le fleuve Sénégal qui marque également la frontière entre les 2 pays…
Le Sénégal est là et un sentiment mêlant fête et nostalgie (et oui la fin de l’aventure pointe le bout de son nez…) plane au dessus du bivouac de Saint Louis….lové en pleine nature !

 

13) mercredi 27 octobre
Etape 10 : Atar – Akjoujt : 380 Km
Sans aucun doute la plus belle étape du rallye ! Naviguer dans les oasis, oser passer par des montées et des descentes aussi belles qu’angoissantes pour arriver à la mythique passe de Tifoujar : une passe de sable au creux d’immenses roches noires, telle seront les objectifs de nos concurrents pour aujourd’hui ! Toutes les attentes seront comblées sur cette étape autant pour nos navigateurs que pour nos pilotes. Le sable est très changeant alors attention au dégonflage des pneus avant de passer, d’autant que la piste sera vite creusée avec les différents passages.
Cette journée à couper le souffle se termine au bivouac d’Akjoujt. Une fois n’est pas coutume les concurrents auront droit à un sol gazonneux au lieu du sable rouge de Mauritanie. Ce paysage atypique du à la pluie ne laissera personne indifférent ! Au bivouac, les autorités mauritaniennes ont proposées aux concurrents un spectacle musical local et notre « balai » Marc nous a offert un feu d’artifice digne d’un 14 juillet pour fêter comme il se doit notre passage en Mauritanie!

 

12)Mardi 26 octobre
Etape 9 : PK 135 – Atar : 419 Km
Cette étape, une fois n’est pas coutume, se fera de bivouac à bivouac : sans liaison. Les concurrents rejoindront le bivouac d’Atar en suivant la ligne de chemin de fer où ils auront la chance de voir le plus long train de marchandise du monde…
La première partie de l’étape est très roulante mais attention à la navigation ! en plein désert nos concurrents n’ont aucun repère et pas d’autre choix que de garder le cap.
Beaucoup plus lente, la seconde partie est composée de cordons dunaires desquels il faudra s’extirper en faisant bien attention aux changements de couleur du sable… Cette étape se terminera dans un bivouac lové au cœur des dunes d’Azougui, au nord d’Atar, où nos amis mauritaniens nous ont réservés un accueil chaleureux.
Côté concurrents : le n° 10 Marc Van Den Boom a chuté et c’est fracturé l’épaule. La course est malheureusement terminée pour lui. Espérons qu’il rentre chez lui avec tout de même de beaux souvenirs.

 

11) Lundi 25 octobre
Etape 8 : Porto-Rico – PK 135 : 375 Km
Aujourd’hui nous attend une journée de transition pour le passage de la frontière. On quitte le Maroc en longeant toujours l’Océan Atlantique . Après un rapide passage aux postes frontières, les concurrents atteignent enfin la Mauritanie et ses paysages sablonneux annonciateurs de spéciales riches en rebondissements des prochains jours !
Il est à noter que le visage que nous offre la Mauritanie cette année est assez particulier… Les fortes pluies des semaines passés ont laisser place à une végétation verdoyante qui contraste avec le sable rouge mauritanien… des piscines d’eau entre les dunes semblent être des oasis en plein désert. Il est rare d’avoir la chance de voir cela. Même les Mauritaniens sont déroutés par ce nouveau paysage …
Les concurrents devront faire très attention ces prochains jours. Si la pluie a laissé place à la végétation, elle a également modifié la texture du sable…

10) Dimanche 24 octobre
Etape 7 : Boujdour – Porto Rico : 574 Km
Aujourd’hui encore, nos concurrents vont longer l’océan Atlantique sur une piste tracée pour le rallye Paris – Dakar. Les participants vont trouver, dès le début, une piste peu visible. La navigation devra être juste et il faudra bien garder le cap ! Mais au km 78 la piste devient beaucoup plus roulante et le pilotage à grande vitesse sera de mise. Les concurrents ont pu s’exprimer pleinement sur cette étape qui allie navigation et pilotage.
A l’arrivée une vue superbe sur la plage de Porto Rico (rassurez vous nous sommes toujours au Maroc) Cet ancien village de pêcheur est installé sur un promontoire qui surplombe l’océan venant s’écraser sur une plage de sable blanc enserrée par des falaises.
Seul bémol de cette journée : le N°14 Giovanni Uliana a fait une mauvaise chute sur la dernière partie de l’étape. Evacué rapidement par l’équipe médicale, il a pu bénéficier des meilleurs soins. Les nouvelles sont bonnes.

 

9) Samedi 23 octobre
Etape 6 : Tan Tan – Boujdour : 681 Km
Une très longue étape attendait nos concurrents aujourd’hui. Une longue piste sablonneuse sur la plage était propice à la navigation. Les participants ont réellement apprécié ce moment. Pourtant, trouver sa route entre les dunes n’a pas du être de tout repos !
La deuxième spéciale était d’une beauté surprenante, les pistes étaient jonchées de cratères volcaniques et de dunes gigantesques où il fallait trouver le bon passage… un paysage à couper le souffle ! d’autant plus qu’elles amènent les participants jusqu’au bivouac de Boujdour, positionné sur une plage de sable blanc où le soleil se couche sur l’océan…
Seul petit écueil de la journée : le n° 200 qui dans un élan de zèle a voulu assurer le spectacle à l’arrivée de la première spéciale alors qu’il avait dégonflé ses pneus pour passer le sable… Résultat : un beau tonneau mais rassurez vous il y a eu plus de peur que de mal ! toutefois bravo le spectacle a été assuré ! Nos cameramans étaient là…

8) Vendredi 22 octobre
Etape 5 : Tan Tan – Tan Tan : 203 Km
Cette courte étape autour du fort de Tafnidilt était composé de deux boucles. Deux vallées de sable attendent nos concurrents. Après avoir réussi à déjouer les pièges de ces dunes de sable enserrées dans un oued, les concurrents se sont dirigés sur la deuxième boucle vers le fort de Ayoun du Draa. Les pelles et les plaques de désensablage étaient de sortie et l’entraide entre participants a une fois de plus bien fonctionnée.
Cette belle boucle les a ramenés sans encombre jusqu’au bivouac pour une soirée de repos bien méritée. Nos cameramans avaient préparé en avant première une petite séance cinéma : les premières images des étapes passées ont été appréciées de tous !

7) Jeudi 21 octobre
Du désert à l’océan Atlantique
Etape 4 : Foum Zguid – Tan Tan : 582,99 Km
Cette 4 eme étape nous fait passer d’est en ouest pour arriver sur la côte atlantique du Maroc. Deux longues spéciales attendaient nos participants. Si la seconde a malheureusement due être annulée à cause de manœuvres militaires sur le secteur, la première a bien eu lieu. Il s’agit d’un tracé réalisé pour le Paris-Dakar de 1996.
Passer sur les traces des plus grands du mythique Dakar a été une réelle aventure pour tous ! Enchainer oueds et pistes parallèles a mis à l’épreuve les navigateurs…
Les participants ont particulièrement appréciés le passage des chotts à grande vitesse.
Une longue liaison nous a enfin conduit au fort de Tafnidilt. Un lieu emprunt d’histoire… Notre bivouac est situé dans l’oued enserré entre l’ancien fort de Tafnidilt et l’hôtel du même nom qui a conservé une architecture identique. Décidemment passé et présent s’entrecroisent depuis le matin…
Côté concurrents la porche 911 a eu encore de ennuis mécaniques et répare avant son arrivée au bivouac…

6) Mercredi 20 octobre

Etape 3 : Merzouga – Foum Zguid : 495 Km Une étape assez longue attendait les concurrents aujourd’hui avec une grande classique du « Dakar », l’Erg Chegaga, suivi du Lac Iriki pour se terminer à Foum Zguid. Peu de difficultés pour la première partie avec des pistes très roulantes avec quelques passages sablonneux mais la navigation est encore un peu difficile pour certains parfois… les temps forts de la journée : le n° 151 - la Renault 20 - a réalisé une superbe prestation dans la première spéciale sans aucune aide ni encombre. La 2ème partie de cette spéciale va laissé des souvenirs à beaucoup. Un passage de 8km de dunes Le quad n°30 a eu des soucis mécaniques : transmission cassée. Une longue nuit en perspective pour pouvoir réparer avant le départ de demain… Il est 19h et bon nombre de concurrents sont toujours sur la piste en direction du bivouac……le camion balai est déjà au travail pour ramener tout le monde. D autres, arrivés trop tard au départ de la 2ème moitié de la spéciale, ont pris la route pour rejoindre le bivouac. A l’arrivée un bivouac exceptionnel au pieds des « Tagines » et de l oasis de Foum Zguid… Le soleil se couche sur ces belles montagnes sans que l’ensemble des équipages ne soient encore arrivés… Les retardataires arriveront certainement assez tard dans la nuit… Le vainqueur de cette troisième étape est : En moto catégorie open : n°16 Barwick sur KTM Catégorie classique : n° 14 Uliana sur Yamaha En voiture catégorie open : n° 216 Szebenyi / Szaller sur Mercedes Catégorie classique : n°222 Quemin / Borde sur Toyota Vainqueur du général : En moto catégorie open : n° 16 Barwick sur KTM Catégorie classique : n° 15 Zago sur Yamaha En voiture catégorie open : n° 211 Csanyi / Csanyi sur Toyota Catégorie classique : n°235 Arendt / Schandeler sur Toyota


5) Mardi 19 octobre

Etape 2 : Mengoub – Merzouga : 353 Km Ça y est ! Les premières dunes tant attendues sont là ! La course s’accélère sur les pistes sablonneuses au travers des oueds. La Porsche a jardinée dans les premiers kilomètres et nombreux sont ceux qui ont encore à apprendre coté navigation… Les dunes spectaculaires de Merzouga se méritent ! Les plus courageux et aguerris auront eu un aperçu de ce que va être le rallye 2010. Ce soir : bivouac à Merzouga : un RDV à ne pas manquer ! Tayeb nous accueille dans son établissement au pied des dunes, un endroit superbe qui a servi de décors pour de nombreux films. Le vainqueur de cette seconde étape est : En moto catégorie open : n° 31 Verzijl sur honda Catégorie classic : n° 14 Uliana sur Yamaha En voiture catégorie open : n° 211 Csanyi / Csanyi sur Toyota Catégorie classique : 227 Moutou / Coquin sur Toyota Vainqueur du général : En moto catégorie open : n° 31 Verzijl sur honda Catégorie classic : n° 15 Zago sur Yamaha En voiture catégorie open : n° 211 Csanyi / Csanyi sur Toyota Catégorie classique : 235 Arendt / Schandeler sur Toyota


4) Lundi 18 octobre

C’est parti ! Etape 1 : Nador – Mengoub : 570,83 Km Arrivés à Nador à 5h00 (heure locale : - 2h) les concurrents ont rejoint la première spéciale après un rapide petit déjeuner. Ces premiers 570 km, ont donné aux participants un avant goût des spéciales à venir : navigation et lecture du road book seront les maîtres mots de ce rallye. Deux spéciales de 67,26 km et de 114,35 km se sont enchaînées entre pistes forestières, pistes roulantes et cols empierrés ; le long de la frontière algérienne. Quelques véhicules ont connu des ennuis d’ordre mécanique mais seul le buggy n° 218 ne pourra pas encore s’aligner sur la ligne de départ du 2eme jour. La prise de contact avec la navigation et l’utilisation du GPS s’est avérée délicate pour certains… mais tous ont rallié le bivouac in fine. Côté résultats, le vainqueur de cette première étape est : En moto : n° 16 Barwick sur KTM. En voiture catégorie open : n° 211 Csanyi / Csanyi sur Toyota. Catégorie classique : 227 Moutou / Coquin sur Toyota


3) Dimanche 17 octobre

De Montauban à Almeria La journée de dimanche s’est déroulée comme l’après midi du samedi : transit libre jusqu’à Almeria. L’ensemble des participants a rejoint le port pour le briefing concurrents de 19h00. La Porsche 911, malgré ses déboires au prologue a elle aussi embarqué pour le Maroc. Après les formalités de douane et de police, les concurrents ont profité d’une nuit bien méritée.


2) Samedi 16 Octobre
WARM UP

8h00, tous les par quittent le parc ferme pour Birac ou se déroulait le prologue. Le brouillard matinal se dissipe enfin et les concurrents partent pour 2 tours de reconnaissance du circuit trace par Pascal Larroque que les Montalbanais connaissent bien. Un beau circuit de 4km que les concurrents parcourront 3 fois. Déjà les premières déceptions avec le quad n 28 qui fait un tonneau. Le pilote blesse est transporte a l hôpital de Montauban> Bras casse il est contraint a l abandon. La Porsche 911 n 76 s arrête dans le second tour avec des problèmes d essence. Pompe casse. Il répare. Le Range du Toulousain Dominique Gabrielle a lui aussi des problèmes de carburant> Après ce prologue les concurrent ont pris la route et doivent être au port de Almeria – Espagne dimanche soir pour prendre le bateau en direction du Maroc.


1) Vendredi 15 Octobre
MONTAUBAN........CHAPEAU !

Tous les participants avaient rendez vous a Montauban pour les vérifications techniques des véhicules a Albasud. Les concurrents sont passe un par un aux différents stands, passeports, stickers, médical, road book........ A 17h tout le monde quittait la zone Albasud, en convoi en direction du centre ville Place des Fontaines ou était installe le Parc Ferme. Après une présentation de chaque concurrent sur le podium les concurrents étaient attendu pour le briefing et un diner a l Ancien Collège en présence de Madame le Maire de Montauban. Les Montalbanais venus très nombreux ont réserve un accueil chaleureux au rallye Heroes Legend.

Heroeslegend - Rallye La Légende Des Héros De Paris à Dakar
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Les infos

 



  1. La navigation comment ça marche ?
  2. Conseils pour la recherche de sponsors
  3. Les engagés


 

La navigation comment ça marche ?

Pour être capable de se déplacer d’un point A jusqu’à un point B il est nécessaire de savoir tout d’abord dans quelle direction de déplacer et pendant combien de temps ou combien de mètres mais au préalable avoir déterminer avec précision :

  • où on est
  • où on va


Pour cela nous avons besoin d’un road book, d’un trip master (ICO/IMO), de cartes, d’une boussole et d’un GPS.


LE POIDS des Chiffres

1 minute (‘) = 1 nautique (Nm) = 1852 m = 1,852 km

ECHELLE
Distance sur une carte : exemple :1/1 000 000
Cela signifie qu’1cm sur la carte représente 10km.

CAP
Le cap est l’angle entre l’axe du véhicule et le Nord.

GPS
Global Position System/Système d’aide à la navigation

 

Utilisez un GPS n’interdit pas de réfléchir, de vérifier la route grâce à d’autres supports comme par exemple des cartes et le road book et de douter des informations communiquées !


GPS…

HISTORIQUE :

PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT DU NAVSTAR-GPS :
Le principe est basé sur la connaissance très précise du temps mis par un signal radio pour parcourir la distance satellite-récepteur (l''unité de temps étant la nanoseconde : 1/1 000 000 000 de seconde). Puis par un calcul interne, cette durée est multipliée par la vitesse de propagation de la lumière dans le vide (299 792 458 mètres par seconde) pour obtenir une distance.

Il faut 3 satellites pour obtenir une position en 2 Dimensions.
Il faut 4 satellites pour obtenir une position en 3 Dimensions.


Enfin, le déplacement de l''utilisateur (ou du récepteur) est basé sur la mesure du taux de variation des distances mesurées. C''est donc l''effet DOPPLER affectant les signaux émis par les satellites qui est mesuré.

Cela signifie qu''à l''arrêt du véhicule :
PAS D''INDICATION de CAP ou alors tout à fait erronée.



Cette particularité se retrouve sur tous les récepteurs GPS. La vitesse minimale à partir de laquelle on peut obtenir valablement un Cap est de 0,2 noeuds soit 370 mètres par heure.

Pour obtenir une position en 2 Dimensions (Latitude et Longitude),
il faut un minimum de 3 satellites.
Aussi, dès la mise en route du GPS,
il faudra attendre au moins : 3 x 30 s = 1 min 30 s
avant de voir une position VALABLE s''afficher à l''écran
QUELLE QUE SOIT la MARQUE du GPS.



PRÉCISION du SYSTÈME :
Situés au même endroit, tous les récepteurs civils, quels que soient la marque ou le modèle, donneront la même position puisqu''ils travaillent tous à partir des informations provenant des satellites. L''utilisateur (ou le récepteur) sont absolument passifs.

La précision va dépendre d''un certain nombre de coefficients statistiques concernant la géométrie des satellites, de l''heure des horloges, de la distance verticale, etc...

Actuellement, la précision générale pour les CIVILS est de :
Horizontale : 100 mètres 2D-RMS dans 95 % des cas.
Verticale : 157 mètres dans 95 % des cas.
Temps : 385 nanosecondes dans 95 % des cas.


POSSIBILITÉS OPÉRATIONNELLES DES RÉCEPTEURS GPS :
Il existe plus de 50 récepteurs GPS sur le marché et avant de réaliser un achat aussi important, il est bon de faire le tour général des possibilités opérationnelles parmi lesquelles on trouve :

A - le nombre de waypoints...
A l''origine, tous les GPS ont été conçus pour une utilisation essentiellement maritime. Pour de très longs parcours transocéaniques, en l''absence de courants marins et en supposant un vent constant en force et en direction, on ne suit jamais une ligne droite entre point de départ et point de destination, mais une courbe du fait de la rotondité de la Terre. Cette courbe, portion de grand cercle, est appelée ORTHODROMIE et représente la PLUS COURTE DISTANCE entre deux points quelconques. C''est à partir de cette donnée mathématique que fonctionnent les microprocesseurs de TOUS les GPS.

Mais l''orthodromie coupe les méridiens terrestres sous un angle chaque fois différent. Aussi, comme il ne peut être constamment en virage, le navigateur va jalonner sa route en définissant des positions (Latitude et Longitude) plus ou moins régulièrement espacées. Ce sont donc ces positions arbitrairement choisies que l''on appelle WAYPOINTS (WPT) ou encore POINTS TOURNANTS puisque, arrivant à chacune de ces positions, le navigateur va tourner de quelques degrés pour modifier plus ou moins sa route.

Ces WAYPOINTS (WPT) seront donc entrés en coordonnées et mis en mémoires pour leur sauvegarde en appuyant sur une touche particulière du clavier : ENTER ou SAVE selon le modèle de récepteur.

Sans se laisser impressionner par le chiffre annoncé, il est intéressant que le récepteur GPS offre le PLUS GRAND NOMBRE de WAYPOINTS pour les deux raisons suivantes :

  • Cela permet une plus grande souplesse dans la "fabrication" du parcours et plus particulièrement
    pour une navigation terrestre. En effet, en fonction des difficultés du terrain, on pourra alors baliser le
    trajet avec des waypoints plus ou moins rapprochés les uns des autres. On ne peut fixer un ordre de
    grandeur. Chacun appréciera, à sa manière, ce paramètre d''espacement.
  • La plupart des GPS offrent la possibilité d''enregistrer, dans des mémoires vacantes, les positions
    instantanées (en utilisant une touche particulière du clavier MOB = Man Over Board ou Homme à la
    mer). Cet enregistrement peut être utile pour la vérification et/ou restitution d''un trajet. Mais ceci se
    fera au détriment du nombre total offert de waypoints. Exemple, avec un maximum offert de 99
    waypoints :
    • 65 WPT seront utilisés pour la "fabrication"du parcours.
    • les 34 mémoires restantes pourront servir à l''enregistrement des coordonnées instantanées de tel ou tel repère naturel rencontré au cours de l''étape ou de tel ou tel événement.

 

B - Le nombre de routes...
Certains GPS offrent également la possibilité de créer des routes parallèles ou d''orientations fort différentes
les unes des autres librement choisies par le navigateur. Mais tout va dépendre du nombre total offert de
waypoints : en aucun cas, on ne pourra dépasser les possibilités opérationnelles (nombre de mémoires) de
l''équipement.

C - Le Set Up ou Initialisation...
Cette fonction permet d''établir le réglage initial du récepteur en sélectionnant certains paramètres essentiels
de référence. Les 2 principaux paramètres sont les suivants :

1 - Unités de mesure...

  • NM = Nautical Mile ou mille nautique = 1 852 mètres environ;
  • SM = Statute Mile ou mile anglais = 1 609 mètres;
  • KM = KiloMètre. Il est préférable d''utiliser cette unité pour avoir un ensemble cohérent avec compteur kilométrique et/ou TRIPMASTER ou TERRATRIP.


2 - Nord de référence...
La plupart des GPS autorisent le choix entre deux Nord :

Le Nord Magnétique (en anglais : Magnetic North). Grâce à la mise en mémoire, dans tous les satellites, de toutes les Déclinaisons magnétiques (Dm) mondiales qui seront automatiquement prises en compte, on peut obtenir des orientations (Caps, relèvements) magnétiques. Les indications (Cap ou relèvement) seront alors accompagnées de la lettre M (Exemple : 137M).

Le Nord Géographique ou Nord Vrai (en anglais : True North). On a alors une vérification rapide du
road-book ou de tout tracé sur cartes puisque les orientations sont VRAIES.
L''utilisation de ce nord de référence présente l''avantage de pouvoir reporter directement sur les cartes les orientations VRAIES (Routes et/ou Relèvements) délivrés par le GPS sans avoir à appliquer la fameuse formule de transformation.
Les orientations (Cap ou relèvement) seront alors accompagnées de la lettre T (Exemple : 038T).

Le développement de ces matériels de navigation est lié directement à la conquête spatiale et à la concurrence en ce domaine.

Le 4 Octobre 1957, les Soviétiques lancent SPOUTNIK-I qui émet son fameux « Bip-Bip ». Des chercheurs américains enregistrent ces signaux et constatent qu’il y a un décalage de leur fréquence dû à l’effet DOPPLER. Après étude, ces astrophysiciens trouvent la formule permettant d’exploiter utilement la dégradation de fréquence des « Bip-Bip ».
Ils retournent alors le problème : si l’on connaissait les dimensions précises de l’orbite parcourue par le satellite, on pourrait en déduire la position géographique d’un mobile équipé de récepteurs radio adéquats.

L’US-NAVY, qui cherchait un système de recalage rapide et précis des centrales de Navigation à inertie de ses sous-marins d’attaque (SNA) et lance-engins (SNLE), s’empara du principe et lança, dès 1958, un vaste programme de recherches qui devint opérationnel en 1964 (NNSS = Navy Navigation Satellite System) plus connu sous le nom de TRANSIT et qui devint accessible aux civils en 1967.


En 1973, le « Department of Defense » (DoD)
décide de développer le GPS. Un nouveau
système de positionnement (NAVigation
System with Time And Ranging – Global
Positioning System) apportant les
améliorations suivantes :

  • Positionnement en 3 Dimensions :
    Latitude, Longitude et Altitude ;
  • Précision nettement améliorée ;
    Indépendance du système vis-à-vis de
    la vitesse du récepteur ;
  • Couverture mondiale, permanente et
    continue.


Ce système fut donc initialement prévu pour fonctionner à partir d’une constellation de 24 satellites (3 étant mis en réserve pour pallier la défaillance éventuelle de l’un des 21 autres). Durée moyenne de vie d’un satellite : 7,5 années.

Quatre satellites, sur chacune des 6 orbites régulièrement espacées autour de la Terre et inclinées à 55° par rapport à l’Equateur terrestre, effectuent leur parcours orbital en 11 h 56 à une altitude légèrement supérieure à 20 000 Km.
 

Road Book...

Un road book (littéralement "livre de route") est un recueil de notes qui indique les changements de direction, les dangers, les caps à suivre et les WP... Ces notes sont prisent par l''organisateur pendant les reconnaissances du parcours, et doivent être suivies à la lettre par les concurrents. Le road book est distribué par l''organisateur
au bivouac pour le lendemain.

Page de Road Book
Il se présente sous la forme d''un livret (pages reliées par le haut) pour les voitures, ou en rouleau (pages collées les unes à la suite des autres) pour les motos. Les pages du road book se décomposent en plusieurs lignes (5 à 6) divisées en trois colonnes : kilométrage, direction et commentaire.

Dans la colonne kilométrage sont indiqués le kilométrage total (distance parcouru depuis le début du parcours ou depuis la dernière mise à zéro) et le kilométrage partiel (distance entre deux cases du road book). Les distances indiquées sont indiquées en kilomètre (sauf indication contraire !).

Un dessin (représentation schématique), dans la colonne direction, indique les dangers ou les changements de direction. Un point indique la position du véhicule par rapport au dessin (en général correspond avec le relevé du kilométrage) et une flèche indique la direction à suivre. Une route est symbolisée par deux traits parallèles, une piste par un trait fort et le hors piste en trait interrompu court.

La colonne observation est utilisée pour les commentaires, les caps ou les coordonnées GPS. De nombreuses abréviations sont utilisées dans cette colonne :
DSS (Départ Secteur Selectif = départ de la spéciale), CP (Contrôle de Passage),TDSPP (Tout Droit Sur Piste Principal), MVS (MauVaiS), HP (Hors Piste), NBX (NomBreuX), PP// (Pistes parallèle)... Pas toujours évident au début !

Préparation...
Avant de partir sur la spéciale, il est impératif de bien préparer son road book :
contrôle du nombre de pages et des distances partielles, relevé des modifications, mise en couleur et relecture.
Cette préparation doit être faite le soir, juste après le briefing.
 

Le contrôle du nombre de page permet d''éviter les mauvaises surprises en pleine spéciale : il peut arriver qu''il manque des pages, que des pages soient mal photocopiées ou inversées. Si vous constatez un défaut dans votre road book, demandez en un autre au PC course !

Les relevés, les calculs de partiel et une partie de la mise au propre sont informatisés : les erreurs de calcul de partiels sont très rares, il n''est pas obligatoire de vérifier tous les partiels.
Une équipe d''ouverture, qui précède la course de 2 ou 3 jours, contrôle le road book et effectue des modifications de dernières minutes qui sont transmises au PC course.

Ces modifications sont affichées au moment de la distribution du road book et commentées lors du briefing. Il est indispensable de bien noter ces modifications : il arrive que des parties du road book soient entièrement remaniée suite à une tempête, un oued en crue, des travaux…….

Trip...
Un trip ou TripMaster est un compteur kilométrique réajustable et étalonable. Un tripmaster est composé d''un boîtier électronique, d''un ou deux écrans (appelés aussi afficheurs), d''un clavier (pour rentrer des données), d''une remise à zéro (interrupteur commandé au pied ou manuellement) et d''un capteur kilométrique
(appelé aussi sonde).

Le boîtier...
Le boîtier intègre la partie électronique, le ou les afficheurs et les touches de fonctionnement du tripmaster. La partie électronique se charge de convertir les signaux émis par le capteur en données kilométriques et de les afficher sur les
afficheurs du TripMaster. Les tripmasters utilisés en voiture comportent deux afficheurs : un écran affiche la distance totale parcourue (depuis le départ de la spéciale) et le second la distance partielle (distance entre deux cases du road-book).

La commande à distance permet de réajuster le tripmaster et d''effectuer la remise à zéro de la distance partielle. En général, les touches de commande du tripmaster sont situées sur le boîtier et un connecteur permet de déporter la remise à zéro de la distance partielle : cet interrupteur peut-être commandé au pied (montage d''un interrupteur sur le cale pieds) ou à la main (utilisation d''une poignée de remise à zéro).

Le capteur kilométrique...
Le capteur kilométrique envoie des impulsions électriques vers le tripmaster : ces impulsions sont converties en distance après une phase de calibration du tripmaster. Cette phase de calibrations est prépondérante est ne doit pas être négligée ! Deux méthodes de calibration sont utilisées : parcours d''un kilomètre (matérialisé par deux bornes kilométriques) ou mesure du périmètre de la roue avant. N''oubliez pas de noter la valeur de calibration de votre trip : en cas de remplacement ou de réinitialisation de votre tripmaster vous gagnerez du temps en entrant directement la
valeur de calibration !

Il existe un très grand nombre de capteurs et suivant la technologie utilisée, ils doivent être alimenté (capteurs à 3 fils) ou non (capteur à 2 fils et aimant). Les plus utilisés sont les capteurs inductifs (fonctionnent avec un aimant et sans
alimentation), les capteurs de proximité (type OMRON, détection du passage de matériaux métalliques - acier, alu - alimentés en 12 V) et les capteurs à effet Hall (alimentés en 12 V). Les capteurs inductifs et de proximité se fixent en regard d''une pièce en rotation (arbre de transmission, moyeu, disque de roue ou tête de vis), alors que les capteurs à effet Hall se montent sur un câble de compteur ou la sortie compteur de la boîte de vitesse.

 

Conseils pour la recherche de sponsors

 

COMMENT CHERCHER DES SPONSORS POUR PARTICIPER
 A LA LEGENDE DES HEROS 2010 ?

Il n’y a pas de recette magique mais quelques conseils  peuvent vous aider.
Avant de vous lancer, vous devez tout d’abord répondre aux questions suivantes :

►Quel est mon projet ?
• Pourquoi participer à La Légende des Héros ?
• Quelles sont mes motivations ?
• Quels sont mes objectifs ?
• Quels sont mes atouts pour parvenir à ces objectifs ?
• Quels sont les moyens à mettre en œuvre pour y parvenir ?

 

►Quel est mon budget pour réaliser ce projet ?
il est important de lister les différents coûts pour avoir une idée claire de vos dépenses (préparation de la voiture/moto - inscription – carburant – voyages – visas et passeports…) à l’issue de cette étape, vous devez donc avoir une réponse aux quatre questions suivantes :
• Quel est mon budget ?
• Comment dois-je le présenter à mes partenaires / sponsors potentiels ?
• Quelles sont mes disponibilités financières ?
• Quelle somme demander à mes sponsors potentiels ?

 

►Quels sont les partenaires potentiels ?
Vos sponsors potentiels doivent être ciblés : misez plutôt sur votre tissu relationnel, personnel, professionnel ou régional que sur les «gros sponsors» qui reçoivent des centaines de dossiers anonymes. établissez une liste de vos partenaires potentiels et caractérisez-les :
• Que font-ils ?
• Pourquoi seraient-ils susceptibles de m’aider ?
• Quels arguments faut-il spécifiquement avancer ?
• Quelles sont leurs disponibilités financières ?
• Quelles sont les entreprises à aller voir en priorité ?

 

►Comment puis-je vendre mon projet ? Quels arguments utiliser?
« Ne vous trompez pas de discours, ni de cible ». Rien ne sert de communiquer sur vos résultats sportifs potentiels si vous en êtes à votre premier rallye ! les amateurs font l’objet de reportages ponctuels, ils sont souvent présents dans les médias locaux, régionaux mais ne promettez pas le journal de 20h ni la 1ère page d’un grand quotidien sportif !

 

Lorsque vous avez répondu aux précédentes questions vous devez préparer une présentation  claire, illustrée par des photos, pas trop longue ou fastidieuse a lire ; elle doit faire rêver du rallye mais aussi convaincre de vos capacités à porter les couleurs le l’entreprise.

Il faut mettre en avant vos spécificités, vos motivations :
• Quelle est l’originalité de votre candidature
• Pourquoi êtes-vous passionné par le sport mécanique (et par le rallye-raid en particulier) ?
• Quelle expérience avez-vous en la matière ?
Mettez l’accent sur votre nationalité et votre région ! Identifiez les retombées médiatiques potentielles : lister les médias disponibles (presse écrite, radio, TV).
Les médias régionaux sont souvent à la recherche de la petite histoire sur les concurrents amateurs ; n’hésitez donc pas à les contacter pour leur proposer une interview, vos sponsors potentiels n’en seront que davantage convaincus !

Présentez les arguments qui justifient un sponsoring :
• Diffuser une bonne image de l’entreprise à l’extérieur au niveau local, régional ou national grâce aux retombées médiatiques. Le nom de l’entreprise (et/ou une de ses marques) est associé à votre participation et à l’aventure du rallye.
• Changer ou renforcer l’image de l’entreprise en interne. Pour communiquer sur les principales valeurs de l’entreprise, les dirigeants peuvent utiliser le sponsoring d’événement pour motiver les employés et/ou associer la société aux valeurs de courage, dépassement de soi, compétition, aventure humaine…

Construire une relation avec vos fournisseurs /clients. Le sponsoring peut être une façon pour un de vos fournisseurs clients de nouer des liens forts avant ou à la suite de la concrétisation d’un partenariat.

• Faire participer indirectement vos sponsors à cette aventure. Tous les passionnés de sports mécaniques et d’extrême auraient aimé aller un jour à Dakar… Ces passionnés, sponsors potentiels, seront donc d’autant plus enclins à vous aider dans ce challenge pour vivre par procuration cette aventure.

• Proposez leur de vous accompagner en catégorie Bivouac Bivouac. Ils vous retrouveront tous les soirs au bivouac.

• Faire bénéficier l’entreprise partenaire de dégrèvements fiscaux. Selon les pays, le sponsoring permet de bénéficier de dégrèvements fiscaux. Pensez à monter un petit argumentaire selon la législation de votre pays.

Mettez en avant les contreparties d’un support financier ou en nature :
• Une visibilité de leur marque / de leur entreprise sur votre véhicule, vos vêtements, votre casque,  vos véhicules d’assistance… Faites un croquis des différents espaces disponibles.
• Un voyage offert à l’arrivée : pour les sponsors les plus généreux, une journée sur le rallye est un argument de poids pour qui veut goûter à l’ambiance de la Légende des Héros !
• L’organisation d’événements : Une exposition du véhicule avant ou après le rallye, ou d’une expo photo…

 

Enfin, très important si vous souhaitez garder de bons contacts avec votre sponsor……
De les tenir au courant de vos exploits pendant (Suivi en direct de vos exploits a partir de notre site internet www.heroeslegend.com avec les classements quotidiens, un résumé de l’étape et quelques photos).
De leur offrir un montage DVD, ou une revue de presse détaillée, un album photos pour les remercier.

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